Être un athlète c’est pas si simple.(7)

Être un sportif ce n’est pas seulement être bon et donner le meilleur de soi-même pour les compétitions, c’est également du sang, de la sueur et des larmes. C’est un boulot à temps plein. Derrière le sourire d’un athlète se cache des concessions énormes…

1. Sacrifices

Des heures et des heures d’entraînement, il faut bien les caser quelque part dans la semaine. Il faut faire des choix entre sortir ou s’entraîner encore plus dure. Des sacrifices tout au long de l’année, passer des vacances, des week-ends, ou avoir entrainement? Sacrifier également les moment en famille, les anniversaires et autres évènements où les sportif n’auront probablement pas le temps de s’y rendre, parce que devinez quoi? Ils font le choix de s’entrainer encore plus afin de réussir encore mieux.

2. Blessures

Un athlète n’est jamais à l’abri d’une blessure si importante, si menaçante que celle-ci pourrait mettre fin à sa carrière pour de bon. Mais n’est-ce pas, quelque part, pour l’amour du risque que l’un ou l’autre choisit tel ou tel sport?

3. Doutes

Les moments de remise en question sont inévitables: « suis-je vraiment doué dans ce domaine? », « est-ce vraiment un sport qui me convient? », « suis-je à la hauteur? ». Face à l’adversité, il est important de garder la tête hors de l’eau et croire en ses capacités physiques. Tout n’est qu’une question de mental. Une fois le blocage dépassé, plus rien ne peut arrêter un athlète. Cela rejoint d’ailleurs l’idée de l’amour du risque, en s’engageant dans un tel sport on a pleinement conscience à quoi il faut s’attendre. Les obstacles et la difficulté à surmonter notamment. Chose qui nous mène à notre prochain point :

4. L'échec

Cet adage populaire dit: “ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort”. Ceci est on ne peut plus vrai en ce qui concerne le milieu du sport, en ce qui concerne la vie de tous les jours d’ailleurs. Il est important de surmonter les échecs pour pouvoir grandir en tant qu’athlète. Nul n’a le temps de s’appitoyer sur son sort, d’en vouloir aux juges d’avoir favorisé une performance à une autre : tout ceci n’est que mauvaise foi. Il faut vite rebondir, se remettre sur pied et retourner s’entraîner sans répit afin d’être meilleur que la fois précédente.

5. Les critiques

Toutes les critiques sont bonnes à prendre, tant qu’elles restent constructives et contribuent au développement personnel d’un athlète.

6. Avoir confiance

Garder la tête haute, et savoir garder confiance en soi aide à la réussite. Pour être sportif de haut niveau, il ne faut pas s’attendre à ce que les autres nous encourage, il ne faut pas en attendre des autres quand on peut se donner confiance sois même. Gagner de la confiance en soi ? Cela s’apprend. C’est même tout un travail de reconstruction pour certains qui, depuis l’enfance, essaient de faire plaisir à tout le monde, excepté eux-mêmes. Il faut connaitre ses capacités, et être prêt à dépasser ses limites toujours plus loin, toujours plus fort.

7. La patience

“Tout vient à point, à qui sait attendre.” Il faut savoir être patient pour pouvoir atteindre ses buts, même les plus extravagants. Il ne faut pas confondre vitesse et précipitation dans la mesure où un athlète ne peut sauter les étapes, la technique doit primer sur la perfomance. Ensuite, les exploits physiques n’arrivent pas du jour au lendemain. La gloire peut arriver au bout de 1, 2, 5 ou 10 ans. Quelque soit le domaine dans lequel vous exercez, il faut se munir de patience pour obtenir des résultats. Être patient mène a la perfection. Les progrès arrivent avec le temps, il faut donc se munir de patience et de motivation.

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